Les mutilations génitales féminines sont plus récurrentes en zones rurales du Burkina Faso et conduisent à plusieurs violences aux jeunes filles que celles devenue femmes rejetées par leur époux après mariage. Cependant beaucoup d'entre elles sont victimes de séquelles qui jouent sur leur vie au quotidien du fait du rejet de la société. C'est un réel défi à relever afin de résoudre cette injustice.
Le projet du Réseau pour la Promotion et l'Autonomisation de la Femme Rurale du Burkina prévoit la formation des acteurs pour l'alerte précoce, des plaidoyers auprès des leaders communautaires, la sensibilisation des populations, l’accompagnement des victimes, la mise en place d'un groupe de défenseurs et porteurs de devoir à l'abandon des MGF et également la mise en place d'un système d'écoute et d'appui des victimes.